L'Evangile de Yahweh guérit le coeur (Shora Kuetu - 27/09/14)

Noël, une fête païenne

Veillée: Allez à la rencontre de l'Epoux (Shora Kuetu - 14/08/14)

L'offrande de Noé (fr/en) (Shora Kuetu - 20/09/14)

La génération de Phinées (Shora Kuetu - 16/09/14)

Suivre Yehoshua à la montagne (Shora Kuetu - 13/09/14)

Pour la gloire de Dieu

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L'épreuve de la foi (Shora Kuetu - 06/09/14)

La Guerre entre la Lumière et les Ténèbres (The War between Light and Da...

La Sanctification _(Shora Kuetu)

Jésus répond à une Musulmane - (Témoignage)

DÉLIVRÉE de la sirène des eaux : Au Nom de JÉSUS

La foi, source de la vision céleste

• ■Enseignements

par redaction - 10 sept 2014

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A notre conversion, nous acceptons le Seigneur Jésus-Christ comme notre Maître, Seigneur et Sauveur. Dès lors, Il fait naître dans notre cœur la foi : la foi concernant le Salut, la prière, les choses invisibles dont parlent les Ecritures, la foi dans la vie pratique… On est par la suite tout feu tout flamme, zélé pour l’Evangile ! Mais quand arrivent les tribulations, notre comportement change… On en vient parfois à murmurer ou à douter du Seigneur et même à oublier tout ce qu’Il nous a déjà dit et accompli dans nos vies !

Est-ce pour autant qu’on ne L’aime pas ou que notre conversion n’est pas sincère ? Cela refait de nous des païens ? Non !  C’est un problème de confiance, d’assurance et donc de foi en Dieu! On peut ainsi affirmer que notre foi n’est pas aussi parfaite qu’on peut le penser. Alors comment rendre notre foi parfaite pour réagir de manière détachée face aux situations ? De nous-mêmes, nous ne le pouvons pas ! L’Homme  est  incapable de rendre quoique ce soit parfait car la perfection ne lui appartient pas!

YHWH, SEUL AUTEUR DE LA FOI PARFAITE

Le Seigneur Jésus, qui est la perfection par excellence, est le seul à rendre notre foi parfaite.

« Nous donc aussi, puisque nous sommes environnés d’une si grande nuée de témoins, rejetons tout fardeau, et le péché qui nous enveloppe si facilement, et courons avec persévérance dans la carrière qui nous est ouverte, ayant les regards sur Jésus qui suscite la foi et la mène à la perfection »Hébreux 12 : 1-2. D’après le dictionnaire Larousse, le verbe « mener » a plusieurs significations. Ici, il signifie « conduire quelque part » ou encore, plus fort, il signifie « faire arriver à une certaine situation ».

Ainsi donc, notre Seigneur Jésus qui fait naître la foi, Se charge Lui-même de la faire arriver au stade de perfection ! Evidemment cela ne se fait pas en un jour car dans les termes « faire arriver » on voit une notion de temporalité.

Mais alors quand est-ce que notre foi sera parfaite ? Notre foi ne sera parfaite que lorsque les morts en Christ, qui seront ressuscités, et les vivants en christ qui seront enlevés, auront revêtu le corps glorieux. Car en Hébreux 11 : 39-40 le Seigneur nous dit, en parlant des héros de la foi, « Tous ceux-là, à la foi desquels il a été rendu témoignage, n’ont pas obtenus ce qui leur était promis, Dieu ayant en vue quelque chose de meilleur pour nous, afin qu’ils ne parviennent pas sans nous à la perfection. » Ce n’est qu’à ce moment-là que nous atteindrons la perfection en toutes choses.

Ainsi, que l’on soit nouvellement converti ou très avancé spirituellement, c’est la même chose pour tout le monde, notre foi en prendra toujours un coup ! Pour illustrer ce propos, prenons l’exemple de Jean le Baptiseur. La Parole de Dieu nous dit en Jean 1 : 26-34 « Jean leur répondit: moi, je baptise d’eau; mais au milieu de vous il y a quelqu’un, que vous ne connaissez pas, qui vient après moi. Je ne suis pas digne de délier la courroie de ses souliers. Ces choses se passèrent à Béthanie, au-delà du Jourdain, où Jean baptisait. Le lendemain, il vit Jésus venant à lui, et il dit : Voici l’agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde. C’est celui dont j’ai dis: après moi vient un homme, qui m’a précédé, car il était avant moi. Je ne le connaissais pas; mais c’est afin qu’il soit manifesté à Israël que je suis venu baptiser d’eau. Jean rendit ce témoignage : J’ai vu l’Esprit descendre du ciel comme une colombe, et s’arrêter sur lui. Je ne le connaissais pas; mais celui qui m’a envoyé baptiser d’eau, m’a dit: Celui sur qui tu verras l’Esprit descendre et s’arrêter, c’est celui qui baptise du Saint-Esprit. Et j’ai vu, et j’ai rendu témoignage qu’Il est le Fils de Dieu. »

Et dans Luc 7 : 17-22 il est dit  « Cette parole sur Jésus se répandit dans toute la Judée, et dans tout le pays d’alentour. Jean fut informé de toutes ces choses par ses disciples. Il en appela deux et les envoya vers Jésus, pour lui dire: Es-tu celui qui doit venir, ou devons-nous en attendre un autre? Arrivés auprès de Jésus, ils dirent : Jean-Baptiste nous a envoyés vers toi, pour dire: Es-tu celui qui doit venir, ou devons-nous en attendre un autre? A l’heure même, Jésus guérit plusieurs personnes de maladies, d’infirmités et d’esprits malins, et il rendit la vue à plusieurs aveugles. Et Il leur répondit : Allez rapporter à Jean ce que vous avez vu et entendu : les aveugles voient, les boiteux marchent, les lépreux sont purifiés, les sourds entendent, les morts ressuscitent, la bonne nouvelle est annoncé aux pauvres. »

De par ces deux passages, on comprend que Jean était un homme avancé spirituellement. Il a vu de ses yeux l’Esprit de Dieu se poser sur le Fils et il a proclamé de sa bouche : « Voici l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde ». Mais pourtant par la suite, parce qu’il était en prison, il a envoyé ses disciples pour demander à Jésus s’Il est bien celui qui doit venir ! A cause de cette  tribulation, Jean a oublié pendant un temps, tout ce qu’il avait vu et entendu ! Malheureusement, c’est comme cela que nous réagissons aussi face aux problèmes.

C’est pourquoi, pour que le Seigneur puisse mener notre foi à la perfection, Il nous demande d’avoir une disposition particulière.

« AYANT LES REGARDS SUR JÉSUS »

Dans le passage de l’ épître aux Hébreux 12 au verset 2, il nous ait recommandé d’avoir les regards sur Jésus  qui est l’auteur de la foi. C’est-à-dire de porter la vue, d’être orienté ou encore de donner toute notre attention à Jésus. Si le Seigneur Yéhoshua a inspiré l’auteur de ce livre à nous exhorter de la sorte, c’est parce qu’Il sait que notre regard peut se porter sur tout autre chose, entraînant ainsi notre perte !

Regardons comment l’œil fonctionne et essayons de comprendre comment notre regard peut être influencé.

 Succinctement l’œil humain, en binôme avec le cerveau, est un organe très puissant. Son but est de capter la lumière qui se propage par la suite jusqu’à la rétine qui est parsemée de photorécepteurs. Ces photorécepteurs, environ 127 millions, sont des cellules qui permettent de distinguer les couleurs : quand la lumière arrivant est faible, on voit le noir et le blanc et quand la lumière arrivant est forte on voit toutes les autres couleurs. Le signal lumineux qu’ils captent est transmis au cerveau, qui se charge de renvoyer l’image. C’est ainsi que par des variations d’intensité lumineuse, nous sommes capables de voir tout ce qui nous entoure. Le cerveau étant connecté aux autres organes sensoriels, l’œil peut donc se faire influencer par ces derniers.

Par exemple, lorsqu’un bruit parvient à nos oreilles, aussitôt nos yeux vont en chercher la provenance. Ou encore lorsque nous touchons par inadvertance une surface plus ou moins visqueuse ou inconnue, aussitôt avec nos yeux, nous détournons notre regard pour chercher à savoir ce que nous avons touché. Ainsi lorsqu’ une lumière ou une obscurité, un son ou un silence nous parviennent de manière brusque, automatiquement notre regard change. A cela se rajoute le fait d’associer à une image un sentiment. Par exemple, on va être émerveillé par un sublime papillon ou encore on va se perdre à la vue d’une mer turquoise ou encore vouloir être un oiseau parce qu’on l’a vu voler et qu’on veut faire pareil… L’univers regorge de choses aussi fascinantes les unes que les autres, qui peuvent faire naître en nous tout type de sentiments, rien que par la vue.

 Spirituellement, il se passe exactement la même chose ! Satan, connaissant le fonctionnement de l’œil, va mettre en place plusieurs stratégies pour que nos yeux regardent à tout sauf à Dieu. C’est ce qui s’est passé dans le jardin d’Eden. Adam et Eve ayant les regards vers le Créateur, Satan a du avoir recours à des stratagèmes pour qu’ils puissent porter leurs regards sur le fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal afin qu’ils le consomment. C’est ainsi qu’une fois son regard détourné, Eve a vu le fruit, l’a consommé et en a donné a Adam (Genèse 3 : 1-7) !

La télévision, internet, l’explosion des nouvelles technologies, les grandes maisons, la mode, l’argent sont des instruments, parmi tant d’autres, que l’ennemi de nos âmes utilise pour faire détourner nos regards de Christ et ainsi nous faire perdre la foi et donc la vision du Royaume. Malheureusement, si le Seigneur a dit : « quand le fils de l’homme viendra trouvera-t-il la foi sur la terre ? » (Luc 18 : 8), c’est parce que beaucoup finiront par mordre à l’hameçon et se détourneront de la route royale, la voie qui mène à la vie éternelle!

 Mais alors, comment faire pour qu’en toutes situations nous puissions toujours regarder à Jésus ?

DEMEURONS DANS LA PRIÈRE

Malgré cette effusion de propositions que le monde peut nous offrir, il n’en reste pas moins qu’il est corrompu et court à sa perte ; et ça, nous ne devons pas l’oublier ! Pour nous préserver de ces choses, le Seigneur nous a donné une solution : la prière. C’est pourquoi Il nous demande dans Sa parole de prier sans cesse (1 Thessaloniciens 5 :17) afin de ne pas perdre la vision céleste. C’est d’ailleurs ce qu’Il a fait quand les gens voulaient l’enlever pour le faire roi de ce monde alors que Son royaume n’est pas de ce monde (Jean 6 :14-15 ; 18 : 36). Il est important de nous adonner à la prière car c’est dans la prière que nous renouvelons nos forces, que nous sommes restaurés. C’est dans la prière et la méditation que nous connaissons la pensée de Dieu. C’est dans la prière que nous sommes régénérés (Colossiens 3 : 10). Et enfin, c’est dans la prière que notre foi grandit, cette foi qui nous incite à l’obéissance par amour et pour l’accomplissement de bonnes œuvres ! Les temps deviennent de plus en plus difficiles ! Ne négligeons donc pas nos moments d’intimité avec le Père car c’est à Ses pieds qu’Il nous remplit et que nous sommes en sécurité.

« Priez sans cesse. Rendez grâces en toutes choses; car telle est la volonté de Dieu en Jésus-Christ à votre égard. N’éteignez point l’Esprit.Ne méprisez point les prophéties. Éprouvez toutes choses; retenez ce qui est bon. Abstenez-vous de toute apparence de mal. Et que le Dieu de paix vous sanctifie lui-même tout entiers, et que tout ce qui est en vous, l’esprit, l’âme et le corps, soit conservé irrépréhensible lors de l’avènement de notre Seigneur Jésus-Christ!Celui qui vous a appelés, est fidèle, et il le fera »1 Thessaloniciens 5 : 17-24

V.N

Délivré de l'adultère (suite) - Couple restauré en Christ

Le mensonge

• ■Enseignements

par redaction - 18 août 2014

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Le mensonge est une affirmation contraire à la vérité faite dans l’intention de tromper. C’est une illusion, un artifice.  
Le mensonge se présente sous divers aspects :
-       le mensonge joyeux fait par plaisanterie
-       le mensonge officieux pour  rendre service
-       le mensonge pieux pour épargner quelque chose de pénible à quelqu’un
-       le mensonge par omission, c’est-à-dire le fait d’omettre délibérément de dire quelque chose.
Les origines du mensonge remontent à la Genèse, lorsque Satan s’introduisit dans le jardin d’Eden dans l’intention de pousser Adam et Eve à désobéir à l’ordre de Dieu de ne pas manger le fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal.
 « Alors le serpent dit à la femme : Vous ne mourrez point, mais Dieu sait que, le jour où vous en mangerez, vos yeux s’ouvriront, et que vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal » Genèse 3: 4-5.
Le diable est donc indéniablement le père du mensonge. « Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu’il n’y a pas de vérité en lui. Lorsqu’il profère le mensonge, il parle de son propre fonds ; car il est menteur et le père du mensonge » Jean 8: 44.
Pourtant, dans certains courants religieux, le mensonge est classé dans la catégorie des péchés véniels considérés comme étant moins graves que les autres et donc non passibles de la géhenne sauf en cas d’accumulation. Mais dans les Saintes Ecritures, il n’y a aucune classification des péchés et la Parole de Dieu est claire sur ce point, sans repentance ils mènent tous en enfer (Romains 3 :23). Ainsi, un mensonge aussi petit qu’il pourrait paraître est un péché grave. Nous ne devons donc pas croire que celui qui commet l’adultère ou un meurtre mérite un châtiment plus grand que celui qui profère un mensonge même si la raison de son mensonge semble bonne, comme par exemple mentir pour éviter la souffrance d’un être cher. Dieu ne peut pas cautionner le mensonge car il est lumière et vérité.
Plusieurs raisons peuvent conduire l’homme au mensonge. L’homme dissimule souvent la vérité pour se soustraire à un jugement, à une réprimande, à une sentence. Le patriarche Abraham, craignant pour sa vie, a demandé à son épouse Sara de se faire passer pour sa soeur et de renier ainsi le lien qui les unissait, devant pharaon, roi d’Egypte, et Abimélec, roi de Guérar (Genèse12 et 20).
L’homme peut également mentir pour des raisons égoïstes ou matérielles comme ce fut le cas d’Acan ou encore d’ Ananias et Saphira. Acan n’avait pas obéi à l’ordre de Dieu de vouer par interdit le butin de guerre. Par sa convoitise, il s’est emparé de quelques lingots d’or et autres objets, et a ainsi introduit l’interdit au milieu du peuple israélite. La dissimulation de son acte a mis en péril de nombreuses vies et la découverte de son mensonge l’a conduit avec les siens à la mort (Josué 7). Ananias et Saphira, quant à eux, ont vendu leur propriété et remis une partie de l’argent aux apôtres. Cependant, ils ont fait croire à l’Eglise qu’ils offraient la totalité de l’argent. Lorsque la vérité fut démasquée, ils furent frappés de mort (Actes 34).
Il est vrai que la nature adamique de l’homme et les tendances de sa chair peuvent à tout moment, s’il n’y prend pas garde, le conduire au mensonge. Toutefois, étant fils de Dieu et ayant reçu l’esprit de Dieu, il doit haïr le mensonge et veiller à dire la vérité  en toutes circonstances et ce, quelles que soient les conséquences encourues. Comme nous l’avons vu, le mensonge peut nous priver du salut.
 « Le pain du mensonge est doux à l’homme, Et plus tard sa bouche est remplie de gravier ». Proverbes 20: 17.
« Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l’étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort ». Apocalypse 21: 8.
Prenons donc garde, rejetons le mensonge et pratiquons la vérité car  Christ est « le chemin, lavérité et la vie » (Jean 14: 6).

Chantez à Yahweh un cantique nouveau - Shora KUETU

Le ministre de Jésus

Ne les crains pas - Shora KUETU